Le vélo bouge tous les jours par les différentes courses tant sur le plan du cyclisme professionnel qu’amateur. Le monde de Picolino ne peut pas suivre les courses malgré son emploi du temps avec beaucoup de regrets. Picolino a juste le temps de faire du vélo pour son plaisir le dimanche matin.
LE DOPAGE
Le dopage rime souvent avec le vélo. C’est dommage que quelques cons salissent ce si beau sport. Un coureur déclarait qu’il se dopait pour être meilleur, pour suivre et jouer la victoire. Le monde de Picolino pense si on se dope c’est pour être meilleur qu’on est sans produit et non pour être moins bon ! Certains coureurs au lieu de se faire des piqûres dopantes devraient se faire des piqûres intelligences.
Le monde de Picolino propose une solution radicale pour éradiquer ce fléau qui ne sévit pas uniquement dans le cyclisme :
les contrôles anti-dopages devraient être systématiques après chaque épreuve dans n’importe quelle catégorie des plus jeunes aux professionnels : le vainqueur et une dizaines de coureurs tirés au sort (au départ de la course) même ceux qui abandonnent doivent s’y soumettre. Tout le monde doit passer au moins une fois dans l’année à un contrôle ;
il faut aussi fixer une liste de produits interdits. Tous les produits médicaux (en plus la liste actuel des produits dopants, les perfusions de glucose et de vitamines, homéopathie) pour faciliter la récupération doivent être interdits, car si on autorise cette pratique c’est une forme de dopage parce qu’il y a une aide extérieur pour l’organisme. Le dopage n’est-ce pas une aide extérieure ?
tout coureur amateur ou professionnel (je sous entends aussi tous les autres sportifs) prit POSITIF doit être RADIER A VIE de sa discipline sportive et ne pouvant pas aller dans un autre sport ou une autre fédération (étrangère notamment). Cette mesure radicale permettrait d’assainir en profondeur le vélo et les autres sports. Les dopés ne pourraient plus participer aux épreuves. Il faudrait aussi leur interdire l’encadrement de jeunes sportifs pour éviter de donner des conseils sur les moyens de se doper ;
si un coureur est malade et doit se soigner pour participer à une épreuve sportive, il doit le faire sans prendre de médicament, autrement il ne prend pas le départ de la compétition. C’est trop facile de se faire une ordonnance avec des substances interdites, cela éviterait d’avoir dans les pelotons des coureurs « malades imaginaires ». Si le coureur n’a pas le choix pour guérir de prendre des médicaments, alors, il ne participe pas à la compétition ;
des coureurs pourraient se doper à l’entraînement dans l’objectif de préparer une course. Pour remédier à ce problème des contrôles doivent être fait tout au long de l’année par surprise. Les coureurs indiqueraient aux instances nationales, internationales, médicales de son sport où il est, enfin qu’on puisse venir le contrôler. Le lieu où il est peut être communiquer tous les jours par les moyens modernes de télécommunications (téléphone portable, Internet). Les coureurs qui s’entraînent mais qui sont malades (absence sur les compétitions) en prenant des médicaments, la prescription et l’état de santé (véritable maladie et bon traitement) doit être contrôler par trois médecins (le médecin de l’équipe, le médecin de famille du coureur, un médecin inconnu du coureur qui ne le verrait qu’une fois dans sa carrière et aucun lien avec le vélo). Si les avis divergent sur le traitement médical s’est le médecin qui primerait car il n’a aucun lien avec le coureur et les instances sportives ;
si des docteurs et autres personnes du monde médical sont complices pour le dopage d’un coureur, doivent être RADIER A VIE des professions médicales, ne pouvant plus exercer leur métier, de ne plus conseiller des sportifs de tous âges.
Cette méthode est peut-être très sévère mais c’est peut-être la seule solution pour éradiquer à jamais le dopage dans le vélo et dans le sport. Les institutions sportives (fédérations, sportifs, encadrement) et les instances étatiques doivent prendre des mesures très stricts et sans possibilités aux personnes prises d’échapper aux sanctions. Les contrôles anti-dopage doivent être efficaces et véritablement inopinés (les mouchards condamnés comme ne respectant le secret professionnel). Cette lutte dans la recherche des produits interdits et les moyens des contrôles doivent être efficaces. Cela demande des moyens financiers et humains importants. Si les instances ne veulent pas mettre les « moyens et les sanctions » dans la lutte contre la fraude, alors on n’a qu’à laisser les coureurs se doper au dépend de leur santé pour le profit de l’argent. Alors qu’on laisse le dopage se propager et on ne fait plus de contrôle, à quoi servent des contrôlent s’il n’y a pas de sanctions ? A rien ! Mais ne pas mettre tous en œuvre dans la lutte ati-dopage, reviendrait à ne pas porter secours à des personnes en danger ; les instances judiciaires pourraient alors condamner les institutions pour « non assistance à personne en danger » et à verser de fort dommage et intérêt dans le cas où des individus iraient au tribunal.
Je suis né dans ce milieu, mon père était coureur (modeste, pas de haut niveau mais d’un bon niveau régional) puis éducateur au sein du club qui l’avait formé le : VELO SPORT HYEROIS (VSH) dont les couleurs sont : VERTES & BLANCHES et sa la création remonte à 1893 (plus vieux que le Tour de France, 1903). J’ai suivi en sa compagnie de nombreux entraînements et de compétitions. Il a entraîné un coureur derrière mobylette pour une course qui se déroulait à Hyères (circuit de la place Clémenceau ou de la rade). Son coureur termina deuxième derrière un Damien Nazon qui passa professionnel quelques années après, aujourd’hui il court pour l’équipe vendéenne « Bonjour ».
Mon père a tout fait pour je ne fasses pas de vélo car il connaissait la souffrance de ce sport et du sacrifie qu’il fallait faire pour avoir un niveau convenable quand on n’a pas la classe d’un champion. Mais j’ai quand décidé de faire ce sport « d’homme » car c’est ma vrai passion, mon moteur, l’une des raisons de mon existence sur Terre. Je me suis lancé en 1990 au VSH. Je ne suis pas un champion, je cours dans des petites catégories ; je ne passerai jamais professionnel, il faut se rendre à l’évidence. Je fais du vélo pour le plaisir en essayant d’être le meilleur possible, en allant au bout de mes forces pour avoir la meilleure satisfaction et ne rien regretter. Comme il faut bien gagner sa vie et qu’à l’école j’étais un peu plus doué pour le travail scolaire, je fais des études de géographie (s’alliant parfaitement avec le vélo car en vélo on découvre des coins magnifiques et je peux faire de la géo) mais je n’ai pas autant de temps disponible pour m’entraîner correctement de vraiment progresser pour atteindre le niveau supérieur. MON BONHEUR EST DE FAIRE VELO CAR J’AIME LE VELO.
Le Vélo Sport Hyèrois n’est pas un grand club de cyclisme, car notre région n’est pas la Bretagne qui l’un des berceau du cyclisme français, comme Vendée U ou même au niveau régional l’AVCA (l’Amical Vélo Club d’Aix-en-Provence). Mais le club a sorti de grands champions, on a compté et/ou on compte parmi nos membres :
Lucien AIMAR : vainqueur du Tour de France en 1966, les 4 jours de Dunkerque, Champion de France en 1968…
Richard VIRENQUE : formé au club avant de partit dans d’autres clubs (dont le MS Mandelieu) et de passer chez les professionnels. Il est revenu dans son club d’origine. Record du nombre de maillot de meilleur grimpeur (7 succès) sur le tour de France. Il a mis un terme à sa carrière professionnelle en fin de saison 2004 après avoir commencé en 1992 chez RMO au côte de Charly Mottet
Stéphane JUNG : vice champion de France de la course aux points junior en 1994, vainqueur du Tour de la région Provence Alpes Côte d’Azur en 1994 devant les coureurs de l’AVC Aix…(cette course a été créée par Raoul Remy –ancien coureur professionnel marseillais- dont les anciens vainqueurs sont Richard Virenque, Eddy Lembo… c’est deux derniers sont passés sur le circuit professionnel).
Thomas MONTANO : champion du monde de vitesse par équipe junior en 1998 à Cuba, champion de France de vitesse par équipe avec le Comité Côte d’Azur en 1998 (Montano, Morellon, Lancien) et 1999 (Montano, Barelli, Lancien).
Romain BARELLI : champion de France de vitesse par équipe avec le Comité Côte d’Azur en 1999 (Montano, Barelli, Lancien) et 2000.
Frédéric LANCIEN : spécialiste du kilomètre départ arrêté, 6e aux jeux olympiques de Barcelone en 1992, champion de France de vitesse par équipe.
Sébastien MORELLON : champion de France de vitesse par équipe.
Kevin COROLLEUR : champion de France cadet de Vitesse en 2000.
Vincent LE QUELLEC : champion de France de keirin en 2001.
Fabien SANCHEZ : vice champion de France de poursuite et de la course aux points junior en 2001, champion du Monde de poursuite par équipe junior en 2001 aux Etats-Unis, champion de France de poursuite individuel Espoir en 2002, champion de France de poursuite individuel Elite en 2004, particpation aux championnats du monde et aux jeux olympiques d'Athènes en 2004. Professionnel dans l’équipe de Marc et Yvon Madiot : « la fdjeux.com », depuis la mi août 2003.
Daniel MORELLON: (licencié au club depuis son arrivée à Hyères avec le pôle de l’équipe de France sur piste au vélodrome de Costebelle ; il entraîne : Félicia Balanger, Laurent Gané, Clara Sanchez, Vincent Le Quéllec…) : multiple champion du monde de vitesse individuel, champion du monde de tandem, champion olympique de vitesse individuel…